Dis-moi... (5 et fin)
Le corps éthérique
Il est nourri par la lumière (Soleil), l'air (le « Qi ou Prana »), et par les courants d'énergie telluriques qui sont bien connus des acupuncteur
L'énergie circule le long de ces lignes comme le sang dans les veines et les artères. Cette circulation permanente, humaine, planétaire et solaire de force vitale anime le corps éthérique de toute forme de vie. Aucune vie n'existe sous une forme séparée. Le corps éthérique d'un être humain fait donc partie du corps éthérique de la planète. Il est donc relié à toutes les formes, à tous les règnes de la nature auquel il appartient. Ce sont ses courants de vitalité qui maintiennent le corps en vie (cela est si bien illustré dans le film avatar !)
Bien nourrir le corps éthérique, c'est aussi savoir marcher pieds nus (un point sous le pied nommé Yong Quan = source jaillissante, capte l'énergie comme un téléphone posé sur sa base !), respirer avec conscience, se ressourcer dans la nature, pratiquer des exercices tels que le Qi Kong en Chine, la giration chez les Soufis, et ne jamais perdre une occasion de nous asseoir toujours dans le maximum de lumière !
Le corps émotionnel
À ce niveau là, le sens du goût va nous permettre de choisir ce qui construit le corps émotionnel. Avons-nous bon goût ? Que mettons-nous dans notre assiette ? Des émotions de haute qualité, avec de la beauté, de l’art, de belles relations...
Ou bien des émotions « en boîte » telles que celles que nous propose la télé ou un entourage lourd ou conflictuel ?
Notre identité émotionnelle va dépendre jour après jour des ingrédients dont nous allons la nourrir. La qualité de nos réponses va ressembler à ce que nous avons choisi de faire rentrer …
Le corps mental
Et ici quelle nourriture ?
Des idées en boîte pour construire nos pensées, prémâchées, et compilation de vieilles idées recyclées ou une réflexion personnelle, des recherches, des apprentissages qui stimulent notre esprit critique, notre curiosité... Pour nous permettre plus tard de développer un mental abstrait afin d’élaborer des idées nouvelles capables d’ensemencer un monde nouveau.
À cet étage encore l’organe du goût va diriger nos choix pour orienter nos capteurs sur « Radio raz des pâquerettes » ou vers le silence inspirant des randonnées en solitaire ou de la méditation.
De quoi sommes-nous gourmands ?
Toutes ces précisions vont nous permettre de comprendre de façon beaucoup plus intéressante les causes des maladies qui ne se réduisent pas à un simple dérèglement physique…
À méditer...