Nos désordres...
Le coronavirus se nourrit de nos désordres
L’anthropologue britannique Mary Douglas décrivait en 1966, dans son livre De la souillure, le caractère hors du commun et ambigu de deux animaux, aujourd’hui considérés comme étant probablement à l’origine du virus qui fait trembler toute la planète.
La chauve-souris (oiseau sans plumes) et le pangolin (fourmilier à écailles) incarnent chacun à leur manière dans certaines cultures l’aberration, l’impureté et le chaos.
En bref, ces deux animaux renvoient à une certaine idée du désordre social. Et s’il y a bien quelque chose que la pandémie de coronavirus rend visible et révèle, c’est toute une série de désordres pour lesquels nous portons, collectivement, une lourde responsabilité (...)
Une crise de l’hôpital public, contaminé par une vision strictement comptable de la santé, ainsi que des réformes successives, ont mené inexorablement au manque de lits pour les patients (–100 000 en une vingtaine d’années, et -17500 ces six dernières années), de personnel et de matériel en France.
Un article paru dans alternative-santé que vous pourrez lire grâce au lien ci-dessous.
Le coronavirus se nourrit de nos désordres
L'anthropologue britannique Mary Douglas décrivait en 1966, dans son livre De la souillure. Essai sur les notions de pollution et de tabou, le caractère hors du commun et ambigu de deux animaux ...
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